b. Privilégier la localisation des espaces de stationnement à l’arrière d’un bâtiment ou de façon à être peu visible du domaine public ;
c. Limiter les stationnements en façades de bâtiments ;
d. Le regroupement des entrées charretières, des allées d’accès et des aires de stationnement est privilégié afin de maximiser les superficies d’espaces verts ;
e. Les aires de stationnement comportant plusieurs cases sont dissimulées par des aménagements paysagers permettant de les camoufler. Une bande de végétation, composée d’arbres et d’arbustes, est aménagée entre la rue et l’espace de stationnement, et la plantation contribue à isoler visuellement les espaces asphaltés ;

f. La superficie des aires de stationnement est réduite au minimum à l’aide d’aménagements paysagers et d’ilots de verdure afin de maintenir ces espaces à petites échelles et de réduire les ilots de chaleur ;

g. Minimiser les impacts des espaces de stationnements sur la rue et sur les propriétés adjacentes ;

h. Intégrer des aménagements paysagers permettant d’atténuer l’impact visuel sur les propriétés résidentielles adjacentes.
